Olivier vous l’avez déjà vu lors de notre soirée-débat avec François Ruffin à Metz.
Cariste et syndicaliste aux ateliers Stellantis de Trémery, il nous a raconté à quoi ressemble le travail, ou plutôt le mal-travail dans cette grande firme. Mais récemment, une nouvelle UBUESQUE au CSE du site l’a totalement indigné… et à raison :
- après avoir organisé la fuite de ses ouvriers qualifiés dans ses « Joint Ventures » (entreprises partagée avec des partenaires) E-Fluid et E-Motors,
- après la suppression de postes attendue suite à la fin de production du moteur thermique ,
- après avoir ignoré l’alerte des syndicats et leur proposition de former les ouvriers sur place pendants les périodes de chômage technique,
Stellantis décide de recruter des intérimaires à l’autre bout du monde, soi-disant que leurs compétences n’existeraient pas en France…
On écoute Olivier :