Une très intéressante discussion ce soir entre parents d’élèves en situation de handicap, AESH, enseignant·es, personnels de l’administration scolaire, agents du périscolaire et élu·es locaux.
Le constat est clair :
👉 Pour les AESH, il faut un statut, une sortie de la précarité, des moyens humains et matériels.
C’est en ce sens que nous poussons via notre action parlementaire avec la NUPES, notamment via notre propositionde loi #AESH qui sera à l’ordre du jour de l’Assemblée ce jeudi 24 novembre #LoisFI2022 ;
👉 Au local, il faut un dialogue de tous les acteurs concernés. Même si l’effort principal à fournir est budgétaire et national, il existe dans nos territoires des leviers d’action qui peuvent permettre d’améliorer la condition des AESH, et en conséquence la situation des élèves en situation de handicap et de leurs familles.
Cette réunion était un lancement en vue d’un travail de plus longue haleine. Si l’on peut se satisfaire que ce soir un espace de dialogue ait été ouvert (il y avait vraisemblablement un besoin, la réunion ayant duré 3h avec beaucoup d’échanges), on ne peut se contenter d’en rester là : il est urgent d’obtenir des avancées concrètes dans le domaine de l’accompagnement scolaire des élèves en situation de handicap.
Merci à l’ensemble des intervenant·es de ce soir :
- Mme DE CONYNCK du Collectif Handi Actif France ;
- Mme HARTER de la CGT Éduc’Action 57 et AESH ;
- M. TURCK, Maire de Chailly-lès-Ennery ;
- Mme PADIER-SAVOUROUX, Inspectrice de l’Education nationale.
